Lakhdar Hanou, avec son oud, conteur des orients, puise dans les récits des tablettes d’argile de l’époque Mésopotamienne – à laquelle on doit les premières apparitions de l’écrit – et dans les poèmes de Babel du poète syrien Adonis.
Un prétexte pour composer une musique narrative, comme Amaru, premier des déluges en forme de requiem oriental; ou pour escorter L’épopée de Gilgamesh par des rythmes enjoués et des improvisations.