El sueno de Sonia de l'album "Ne fut ce qu'en chine interprété par Expérience Orchestra

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Le titre de l’album Ne fût-ce qu’en Chine est tiré d’un Hadith du prophète de l’islam :« Recherchez le savoir ne fût-ce qu’en Chine ». Avec la musique orientale comme fil conducteur, qui rencontre, partage et s’enrichit des autres cultures en voyageant de l’Espagne à la Chine, on obtient une histoire. 

En s’associant à des artistes héritiers de ces horizons et interprètes de talent, Lakhdar Hanou s’entoure d’un ensemble à cordes exceptionnel : chant, oud, guitare flamenca, guzheng (cithare chinoise), ney (flûte en roseau), violoncelle et percussions qui explorent ces syncrétismes. 

Le concert est ponctué d’instants d’intimités et de virtuosité avec ses propres sonorités et arrangements. Un moment vivant, fait de générosité, d’humanité et de partage. Son album, Ne fût-ce qu’en Chine, a été accueilli avec succès par la critique (France Musique, France Inter, Télérama).

« Le violiste Jordi Savall et l’oudiste grec Kyriakos Kalaitzidis avaient adopté la même démarche, l’un dans les pas de saint François Xavier, l’autre dans ceux de Marco Polo. Lakhdar Hanou, lui, a choisi pour fil rouge, bien documenté dans le livret, les poètes d’Orient. Avec les voix nues de Sofiane Saidi, dont la langueur suave et nostalgique hante quatre titres, et de l’Irakienne Suzanne Abdalhadi pour pleurer l’absence de l’être aimé chez Mahmoud Darwich ou incarner l’amour transi d’Ibn Arabi, mystique soufi du dixième siècle. » — Anne Berthod Télérama

L’album Ne fût-ce qu’en Chine en écoute sur les Plateformes streaming (YouTube, Spotify, Deezer etc) distribué par Socadisc pour le Label Macase : ICI 

Lakhdar Hanou : direction artistique, composition, oud

Leïla Zitouni : percussions et chant

Auguste Harlé : violoncelle

Jiang Nan : guzheng (cithare chinoise)

Marylou Planchon : Ney et cheurs

Timothée Tchang : percussions

Morgane Astruc-Loquet : guitare flamenca