Ne fût-ce qu’en Chine
Création de Lakhdar Hanou 2025/26
ARTISTES :
• Lakhdar Hanou :
Oud & Composition
• Leïla Zitouni :
Chant & Percussion
• Louise Grevin :
Violoncelle & Chant
• Marylou Planchon :
Ney (flûte oblique en roseau)
• Jiang Nan :
Cithare chinoise
Ne fût-ce qu’en Chine ce titre est tiré d’un Hadith (parole rapporté) du prophète de l’islam : « recherchez le savoir ne fut-ce qu’en Chine ». Le savoir se remplace par la musique et on obtient ainsi une histoire via le fil conducteur qui explore les syncrétismes musicaux de l’orient s’enrichissant mutuellement des autres cultures.
Ce spectacle chaleureux est une création qui met en lumière un orient, fait de poésie, d’humanisme et de créativité. En s’associant à des artistes héritiers de ces horizons et interprètes de talent, Lakhdar Hanou s’entoure d’un sextet :
– chant, oud, guitare flamenca, guzheng (cithare chinoise), ney (flûte en roseau),
violoncelle
Le concert est ponctué d’instants d’intimités et de virtuosité avec ses propres sonorités et arrangements. Un moment vivant, fait de générosité, d’humanité et de partage Son album éponyme, Ne fût-ce qu’en Chine, a été accueilli avec succès par la critique. Récompensé à de multiples reprises (Couleurs du Monde sur France Musique, France Inter, Etienne Bours dans Trad Mag de mars/avril 2016.
Anne Berthod Télérama 3T
« Le violiste Jordi Savall et l’oudiste grec Kyriakos Kalaitzidis avaient adopté la même démarche, l’un dans les pas de saint François Xavier, l’autre dans ceux de Marco Polo. Lakhdar Hanou, lui, a choisi pour fil rouge, bien documenté dans le livret, les poètes d’Orient. Avec les voix nues de Sofiane Saidi, dont la langueur suave et nostalgique hante quatre titres, et de l’Irakienne Suzanne Abdalhadi pour pleurer l’absence de l’être aimé chez Mahmoud Darwich ou incarner l’amour transi d’Ibn Arabi, mystique soufi du dixième siècle. »